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    Tressage de la crinière et de la queue

     

    Matériel :

    - Une éponge pour humidifier la crinière,

    - Un peigne pour déméler la crinière et la placer d'un seul côté,

    - Une pince à chevaux ou une pince à linge pour isoler la méche à natter,

    - Des élastiques à natter : Eventuellement, des noeuds à tresser, de la laine ou du fil et une aiguille.

    - Et bien sûr, un peu de doigté et pas mal de patience.

     

    Tresse en filet :

    Si votre cheval a une crinière très longue avec des crins souples le tressage en filet, ou en damier, peut lui convenir.

    Cette technique est facile à exécuter, mais un peu fastidieuse. Vous délimitez un nombre impair de méches etvous les regroupez 2 par 2.

    Vous répétez sur 3 à 4 lignes, puis vous laissez les méches libres.

    Votre coup d'oeil déterminera quelles sont les longueurs mettant le mieux votre cheval en valeur.

    Vous pouvez à votre gré, mais sans surcharge excessive, ajouter des rubans ou de la laine par-dessus les élastiques. De grosses perles peuvent également être utilisées.

     

    Tresse d'étalon :

    Avec les crinières assez longues (2 travers de main au minimum) et fournies, on peut effectuer une tresse d'Etalon, appelée encotre tresse à la Portugaise ou à la Française.

    Celle-ci convient davantage aux chevaux avec une encolure épaisse.

    Le principe en est simple, mais pour bien la réussir, il faut un minimum d'entraînement. En effet, quand vous la commencez, vous êtes obligé de la finir d'un seul trait.

    La crinière doit être parfaitement démélée pour ne pas se heurter à des noeuds. Vous pouvez éventuellement humidifier les crins avec une éponge. Vous commencez par le sommet de l'encolure. Vous pouvez inclure le toupet, si celui-ci est assez fourni et si l'esthétique obtenue vous plaît. Mais dans ce cas, il faut dés le début lui mettre le filet ou la bride, car la 1ère manche passera par-dessus la tétière.

    Vous construisez la tresse en serrant bien le long de l'encolure et en prenant une nouvelle méche chaque fois que vous êtes du côté du sommet de l'encolure. Vous la relâchez après l'avoir croisée par le dessus.

    Quand vous arrivez au garrot, vous terminez la tresse de façon classique. Si vous êtes habile, vous pouvez y inclure 1 ou 2 brins de tissu à la façon du Cadre Noir.

    Vous pouvez également, vous éloignez progressivement du sommet de l'encolure de façon à dessiner une courbe régulière. Pour éviter l'effilochage de la tresse, il faut éviter que le cheval ne baisse la tête, pour manger par exemple. Il faut donc la faire au dernier moment, mais avec l'habitude, elle est rapide à réaliser.

    Dans tous les cas, n'hésitez pas à utiliser du gel pour cheveux (voire du spray si le cheval n'en a pas peur). Il faudra simplement l'éliminer en brossant bien les crins.

     

     

    Tresse de queue :

    Le tressage de la queue ne peut être réalisé sur un couard épilé. Comme pour le tressage de la crinière, la queue doit être propre, mais ne doit pas avoir lavée le jour-même. Les crins doivent surtout être très bien démêlés, de la base jusqu'en bas.

    Après avoir humidifier les crins au niveau du couard, vous commencer la tresse tout en haut en prenant les crins les plus éloignés. La difficulté principale est de garder un espacement constant tout en serrant régulièrement et, surtout, de rester coller au couard. En effet, on a souvent tendance à s'en éloigner au fur et à mesure que la tresse se forme.

    La longueur de la tresse africaine dépendra de l'effet recherché. Plus la croupe est musclée, plus on tressera le long du couard.

    Quand la longueur désirée est atteinte, on termine par une tresse classique qu'on replie vers l'intérieur et qu'on fait tenir avec un élastique. Un peu de gel à cheveu aide la tresse à ne pas s'effilocher.

    Si la queue doit être nattée la veille, vous pouvez utiliser une bande de queue pour éviter que le cheval ne l'abime contre les murs.

     

    quelques jours à peine après sa naissance, le poulain gambade auprès de sa mère.

    Ange

    J'étais dans mon box, j'étais heureux. Mais “ils”sont venus. Moi, innocent, j'ai passé la tête par la porte de mon box et j'ai poussé un joyeux henissement en voyant tant de monde venir me dire bonjour. Et là, je “les” ai vu. Derrière eux, j'ai vu des cavaliers du club pleurer. Puis j'ai entendu ces mots que je n'ai pas compris: “on ne peut pas avoir autant de chevaux, il faut bien se débarasser de ceux qui ne nous sont pas indispensable. Or, Ange n'a pas eu de très bon resultas aux derniers concours.” Ange, c'est moi.  “Ils” m'ont emmené dans un van que je ne connaissais pas. Dedans, il y avait aussi Canelle, une ponette qui s'était blessée à la jambe la semaine dernière. On a fait un voyage assez long puis “ils” nous ont fait descendre dans une cour. Ca sentait bizzare. Le sang, la mort, le crottin… Puis “ils” nous ont fait monter dans un gros camion oú il y avait déjà une dizaine de chevaux qui ont hennient en nous voyant. Mais ce n'était pas un henissement que je conaissait. C'etait un henissement de peur, de douleur, de détresse. Et là, j'ai commencé à ressentir la peur. La vraie peur. Je ne l'avait pas connue jusqu' ici. Cette peur que l'on ressent quant on ignore quelque chose de capital. Dans le camion, l'odeur s'est amplifié. C'était à la limite du suportable. Puis le camion a démaré brutalement. On a roulé longtemps. J'avais faim, j'avais soif. En voyage, j'ai fait connaissance du cheval qui était à coté de moi. C'était Indy, un hongre. Il avait une blessure qui s'infectait peu à peu à la jambe. Puis “ils” ont fait monter d'autre chevaux. Pour qu'on se pousse, ils nous ont fouété. Et là, Indy a trébuché. Il est tombé. Et un cheval lui a marché sur la jambe. Il ne pouvait plus se relever. Après quelques heures de souffrances horribles, il s'est eteint. Puis son corps a commencé à sentir. C'était horrible. Peu à peu, d'autres chevaux se sont éteints. De soif, de faim, de blessures, de desespoir. Enfin, le camion s'est arrété. “Ils” ont ouvert la porte. La lumière m'a aveuglée. Les autres chevaux voulaient sortir. Ils m'ont poussé. Je me suis tordu la jambe. J'ai eu mal. Mais j'étais obligé d'avancer. Dans d'interminables couloirs hantés par le sang, la peur, la mort. J'ai entendu un cheval henir, j'ai reconnu Canelle. Ma petite Canelle si courageuse. Puis on est arrivé dans un grande salle avec un planché en fer. Puis, “ils” ont fermé la porte et nous ont laissé là. Pas à boire, pas à manger. Un à un, beaucoup de chevaux sont morts. Ma Canelle aussi. Puis, un jour, “ils” sont venu me chercher. J'ai eu à boire. C'était bon. C'était la dernière chose que j'aurais eu de bon de ma vie. Ensuite, je suis entré dans une salle oú l'odeur, l'ambiance, m'a fait paniquer. Je me suis cabré, je me suis pris un coup de gourdin dans les jambes. Puis, “il” est entré. J'ai senti quelque chose entrer dans ma gorge. J'ai eu mal. Je me suis senti faible. Je me suis couché. Ou plutôt, je suis tombé. Et j'ai su. J'ai eu mal au coeur. J'ai fermé les yeux. Noir…… 

    Ange est mort. Il a rejoint la paradis des chevaux oú il a retrouvé Canelle et Indy. Cette histoire ne possède AUCUNE exagération. Tous les jours, des centaines de chevaux subissent ça. Alors, si vous avez un coeur, même de pierre, réagissez. Cette histoire est horrible alors copiez la partout pour les chevaux. Ils faut que les choses changent car aucun cheval n'a le droit de subire ça !!!! C'est vrai ,réagissez ! Aidez les …

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